Des chercheurs de l’Université de Waterloo utilisent l’intelligence artificielle pour accélérer la mise au point de nouveaux médicaments. Habituellement lent et coûteux, le développement d’un nouveau médicament peut prendre plus de 10 ans et coûter jusqu’à trois milliards de dollars. Afin de réduire ces obstacles, l’équipe a développé un modèle d’intelligence artificielle nommé « Imagand », capable d’analyser rapidement les propriétés potentielles de nouveaux composés en se basant sur des données existantes. Cet outil prometteur pourrait permettre aux chercheurs de sélectionner plus facilement les médicaments candidats les plus sûrs et les plus efficaces, tout en limitant les risques d’interactions médicamenteuses négatives.
L’outil contribue donc à une médecine plus personnalisée et précise, en réduisant les coûts et en accélérant la phase préclinique du développement de médicaments.
Cet article est originalement publié par l’Université de Waterloo, rédigé par Rens Dimmendaal et Banjong Raksaphakdee.
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Je trouve fascinante l’utilisation de l’intelligence artificielle dans le domaine pharmaceutique. Cela montre à quel point la technologie peut encore transformer profondément le secteur de la santé, en apportant des solutions innovantes concrètes qui aident à sauver des vies. Toutefois, il reste essentiel de s’assurer que les prédictions faites par l’IA soient soigneusement vérifiées par des expertises humaines afin d’en garantir la sécurité et l’efficacité réelles.
Et vous, pensez-vous que l’intelligence artificielle deviendra bientôt essentielle au secteur de la santé, ou croyez-vous au contraire qu’elle présente encore trop de risques incertains ?
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